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BALLET DE DANSE NEO CLASSIQUE

JULIEN GUERIN

FRANCE

le choregraphe

Formé au Conservatoire national de musique et de danse de Paris, Julien Guérin rejoint les Ballets de Monte-Carlo en 2007, après avoir travaillé avec le Ballet national de l’Opéra de Bordeaux, l’English National Ballet et le Scottish Ballet.
En 2008, il fait ses débuts en tant que chorégraphe. Devenu son activité principale, Julien Guérin à créé, à l’Opéra-théâtre de Metz, la première adaptation dansée du célèbre roman de Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves.
Ancien danseur des Ballets de Monte-Carlo. Il a chorégraphié ses premières pièces telles que « Theorem68 » et « Verwirrung der Gefühle » en collaboration avec l’Ecole des Arts Plastiques de Monaco. Invité au New York Choreographic Institute pour la création de « Beaudelairian Souls », lauréat du concours des jeunes chorégraphes de l’Opéra National de Bordeaux, Julien Guérin a notamment créé pour l’Opéra de Nice « Démons et Merveilles », « Scaramouche » pour l’Opéra du Grand Avignon, « Dear Soaring Thoughts » pour le Ballet National Tchèque, ou encore pour des écoles prestigieuses telles que la Beijing Dance Academy, la School of American Ballet et la Princess Grace Academy.

les spectacles

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A PROPOS

Chorégraphie de Julien Guérin
Musique : Antonio Vivaldi
Décors : Antoine Fontaine
Costumes : Julie Lance
Lumières : Dominique Drillot
Durée : 75 mns sans entracte
14 danseurs

Prermière adaptation de La Princesse de Clèves pour la danse,   Julien Guérin adapte La Princesse de Clèves pour le ballet de Metz.
La Princesse de Clèves est truffée de personnages complexes. Ce qui fait tout l’intérêt, et le danger, de l’adapter en ballet. Mais Julien Guérin fait mouche. Sa Princesse de Clèves est un petit bijou, comme une magnifique miniature d’un grand ballet narratif. Avec les 14 danseuses et danseurs du Ballet de Metz, il parvient en deux heures à raconter une histoire qui nous bouleverse sans abdiquer aucune difficulté. Ils sont 14 sur scène mais on croirait qu’ils sont dix fois plus, tant l’espace est occupé avec intelligence.
Le tout est conforté par une superbe scénographie d’Antoine Fontaine, composée de lourds panneaux amovibles qui dessinent différents espaces et sont habilement manipulés par la compagnie. Les costumes signés Julie Lance sont somptueux, évoquant dans leur style le XVIIe siècle sans s’y appesantir. On se sent ainsi confortablement installé dans cet univers.
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L’approche de Julien Guérin ne saurait être plus différente. Le Temps du Tendre, pièce pour couples, pièce sur l’amour, pièce dansée sur pointes! Au sol, des traces de la carte du tendre et seize interprètes, plus un soliste, appelé «Le voyageur» (Daniele Delvecchio), Adonis en déroute, plein de fougue et toujours prêt pour l’amour. Mais il lui manque un GPS pour se repérer dans la vie amoureuse actuelle. La carte du tendre est aujourd’hui obsolète pour orienter l’homme dans les méandres du sentiment amoureux? Sans doute.
Mais on entend ici Les Quatre Saisons de Vivaldi, intemporelles. C’est aussi en cela que Le Temps du Tendre est une pièce revendiquant le droit à un ballet actuel. plutôt du XXe siècle tout de même (mais loin de Béjart) et qui recompose celui des siècles précédents. On est dans la vision d’une histoire du ballet sans ruptures, du baroque jusqu’à aujourd’hui. Julien Guérin évoque, sur Les Quatre saisons de Vivaldi et une scénographie de Dominique Drillot, une «heuristique du sentiment amoureux». Etude chorégraphique fine mais plus classique (pas de deux, portages, pointes…) qui oppose des couples habillés aux couleurs des saisons à un personnage central, «le voyageur», superbement interprété par Daniele Delvecchio, déjà inoubliable dans L’enfant et les Sortilèges en 2016.
Inspirées par l’oscillation entre mouvements lents et rapides de la musique, les élaborations empreintes d’une sensualité qu’on devine exacerbée mais toujours contenue par une délicate élégance, illustrent les différents affects humains dans la poursuite de cette «carte du tendre du xviie siècle, itinérance conseillée» afin de connaître l’amour.
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A PROPOS

Chorégraphie de Julien Guérin
Musiques : Antonio Vivaldi
Scénographie : Dominique Drillot
Costumes : Adeline André
Lumières : Samuel Thery, Dominique Drillot
Durée : 37 mns sans entracte
17 danseurs

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A PROPOS

Chorégraphie de Julien Guérin
Musique : Antonio Vivaldi
Décors : Antoine Fontaine
Costumes : Julie Lance
Lumières : Dominique Drillot
Durée : 75 mns sans entracte
14 danseurs

“Un hiver à Majorque », un pas de deux avec Norton Fandinel et Karina Moreira, accompagnés au piano par José Arrue. Réinterprètation de la passion tumultueuse entre la romancière Georges Sand et le compositeur Frédéric Chopin.
“Shimmer Simmer”, le chorégraphe Kinsun Chan nous parle de l’impact des variations du temps et des saisons. Avec le raccourcissement et l’allongement de la lumière du jour ou la hausse et la baisse des températures, notre esprit subit une transformation. Le chorégraphe s’inspire de ces différentes atmosphères à travers le langage corporel et le changement de dynamique dans le phrasé du mouvement. Le résultat est une interprétation abstraite à travers la danse qui capture l’ambiance et l’imagerie des saisons du printemps et de l’été.

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